Quatorzième édition du « Printemps de la francophonie » à l’Université Simon Fraser.
Quatorzième édition du « Printemps de la francophonie » à l’Université Simon Fraser. Le Bureau des affaires francophones (BAFF) de
Quatorzième édition du « Printemps de la francophonie » à l’Université Simon Fraser. Le Bureau des affaires francophones (BAFF) de
L’année 2024 sera une année charnière pour près de 200 000 Taïwanais qui ont la citoyenneté canadienne. D’ailleurs, la plus
Gestionnaire de la serre communautaire d’Inuvik, Stephane Villeneuve travaille à parsemer progressivement la ville de jardinières. Denis Lord – IJL
La Chambre de commerce d’Edmundston et Travail NB ont annoncé, en début d’année, la création d’une nouvelle agence visant à
La Saskatchewan est une terre d’opportunité qui attire des francophones des quatre coins du monde. Certains y passent quelques années, d’autres des décennies. Certains s’engagent dans la vie communautaire, d’autres restent plus discrets. Gabrielle Lepage-Lavoie n’est pas de ceux qui restent dans l’ombre. Fière Franco-Albertaine, mère de trois filles, journaliste à la pige pour Radio-Canada, elle ne se doutait pas, voilà 20 ans, de l’empreinte qu’elle allait laisser en Saskatchewan.
Frédéric Dupré – Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Ouest
Cécile Tkachuk a grandi dans le petit village francophone de Zenon Park en Saskatchewan, où elle a effectué ses études primaires et secondaires. Puis, en 1976, elle part pour la grande ville en s’inscrivant à l’Université de Regina. Une vie d’engagement pour la langue française et la culture francophone démarrait alors.
Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Ouest
Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Saskatchewan
Le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) s’est réuni le 14 janvier à Regina pour faire le point. D’ici quelques mois, en s’appuyant sur le témoignage des organismes accueillant et des nouveaux arrivants eux-mêmes, un rapport sera produit pour dresser le portrait de l’immigration francophone dans la province de cette dernière décennie.
Chevez Ezaneh est un jeune entrepreneur autochtone basé à Saskatoon, dont le français est la langue maternelle et le déné la langue paternelle. Cet ancien étudiant de l’École canadienne-française a inventé et récemment mis en marché le premier clavier en langue crie, une des nombreuses langues autochtones en voie de disparition. Entretien avec un inventeur au secours du patrimoine linguistique.
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Jean-Philippe Deneault
Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Saskatchewan