Une jardinière à la fois
Gestionnaire de la serre communautaire d’Inuvik, Stephane Villeneuve travaille à parsemer progressivement la ville de jardinières. Denis Lord – IJL
Gestionnaire de la serre communautaire d’Inuvik, Stephane Villeneuve travaille à parsemer progressivement la ville de jardinières. Denis Lord – IJL
La Chambre de commerce d’Edmundston et Travail NB ont annoncé, en début d’année, la création d’une nouvelle agence visant à
La Saskatchewan est une terre d’opportunité qui attire des francophones des quatre coins du monde. Certains y passent quelques années, d’autres des décennies. Certains s’engagent dans la vie communautaire, d’autres restent plus discrets. Gabrielle Lepage-Lavoie n’est pas de ceux qui restent dans l’ombre. Fière Franco-Albertaine, mère de trois filles, journaliste à la pige pour Radio-Canada, elle ne se doutait pas, voilà 20 ans, de l’empreinte qu’elle allait laisser en Saskatchewan.
Frédéric Dupré – Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Ouest
Cécile Tkachuk a grandi dans le petit village francophone de Zenon Park en Saskatchewan, où elle a effectué ses études primaires et secondaires. Puis, en 1976, elle part pour la grande ville en s’inscrivant à l’Université de Regina. Une vie d’engagement pour la langue française et la culture francophone démarrait alors.
Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Ouest
Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Saskatchewan
Le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) s’est réuni le 14 janvier à Regina pour faire le point. D’ici quelques mois, en s’appuyant sur le témoignage des organismes accueillant et des nouveaux arrivants eux-mêmes, un rapport sera produit pour dresser le portrait de l’immigration francophone dans la province de cette dernière décennie.
Chevez Ezaneh est un jeune entrepreneur autochtone basé à Saskatoon, dont le français est la langue maternelle et le déné la langue paternelle. Cet ancien étudiant de l’École canadienne-française a inventé et récemment mis en marché le premier clavier en langue crie, une des nombreuses langues autochtones en voie de disparition. Entretien avec un inventeur au secours du patrimoine linguistique.
________________________________________
Jean-Philippe Deneault
Initiative de journalisme local – Réseau.Presse – Saskatchewan